Le 02/03/2021

Le travail te rendra invulnérable #0270



Ce qui conditionne la détermination et la productivité, c'est la surcharge progressive. Comme en musculation. La vie n'est pas un sprint mais un marathon.

Bonjour et bienvenue,

C'est Bertrand de la Fondation MAGister,

l'École des Héros du Monde Réel.

...

Pour le vingt-huitième épisode de la série sur le thème de la reconnaissance, du succès externe, de la patience, de la confiance, de la vision, de la résolution, de l'abondance, de l'audace et de la loi d'attraction.

À la fin du dernier épisode je vous disais que pour prédire le succès d'un projet on peut jauger la vision, la maturité, la productivité, la détermination et la patience de son auteur.

Qui sont des facteurs qui finissent par plier la réalité.

En ce qui concerne mon projet de vidéos j'ai toujours des gens de temps en temps qui ne prennent pas en compte ces facteurs,

et qui m'envoient des messages comme quoi ça ne marchera jamais ce que je fais.

Qui m'envoient des messages comme quoi je n'ai rien pour prouver ce que je dis, je ne suis pas crédible, etc.

Des gens qui réfléchissent de manière superficielle, qui pensent que c'est mal parti pour mon projet, et que quand je parle de ma détermination intérieure dans les vidéos c'est pour me rassurer, parce que je n'ai pas beaucoup de vues.

Alors que non j'en parle parce que le pouvoir de la détermination intérieure indépendamment des circonstances extérieures,

c'est l'un des gros thèmes de ma chaîne.

...

Et ce n'est pas juste du vent.

Durant ces trois dernières années j'ai mené à bien mon doctorat de sciences cognitives,

j'ai écrit une thèse, j'ai donné des cours, j'ai encadré des étudiants, j'ai lu des centaines d'articles scientifiques, j'ai lu des centaines de livres et j'ai développé le contenu de cette chaîne.

Pour cette chaîne, j'ai écrit plus de 600 scripts d'épisodes.

Et j'en ai tourné et publié pratiquement 200.

Déjà pour arriver en doctorat il faut avoir un certain niveau de détermination.

Pas un si grand niveau car ça ne veut plus dire grand chose à notre époque,

beaucoup de projets de thèses modernes étant juste une sorte de commande, une sorte de forme de main d'oeuvre au service des projets d'un directeur.

Mais quand même ça demande un minimum de détermination.

Ma thèse en revanche a été construite sur un sujet original et personnel, ce qui est plus l'exception que la norme pour une thèse moderne, parce que pour réussir à avoir la liberté de faire ça tu dois être très convaincant dès la fin de ton master.

Elle contient 6 expérimentations utilisant des paradigmes complètement originaux, et si tu regardes le niveau de la programmation des expérimentations, tu verras que c'est très largement au dessus de ce qui se fait habituellement dans ce domaine.

Niveau programmation c'est dans le top 1% de ce qui se fait en pyschologie.

...

La plupart des personnes qui sont en doctorat se focalisent à fond sur leur projet de doctorat,

et c'est vraiment difficile pour elles d'arriver au bout, c'est une épreuve qui les épuise.

Donc arriver à développer un projet en parallèle d'un doctorat,

ça veut dire que niveau productivité et charge mentale tu sais y faire,

et c'est bon signe.

...

D'autant plus que pour moi ce projet de vidéos a impliqué beaucoup beaucoup d'heures de pratique pour développer ma compétence orale,

car j'avais beaucoup de travail à ce niveau.

Je ne me suis pas lancé là dedans avec des facilités.

Justement, l'une des raisons pour lesquelles j'ai commencé sans attendre ce projet dès le début de mon doctorat,

en parallèle,

c'était pour avoir le temps de déblayer le terrain et gommer ces difficultés.

Comme je vous le disais dans l'épisode 25, c'est une stratégie que j'ai répété plusieurs fois dans ma vie.

Et c'est d'ailleurs ce qui donne l'illusion que je suis plus productif que je ne le suis vraiment.

La vérité c'est juste que je viens avec de l'avance, et que cette avance me donne des avantages en cascade.

Je n'attends pas la fin d'une étape de ma vie pour avancer sur l'étape d'après.

Je commence à préparer l'étape future durant l'étape présente, quitte à sacrifier un peu de mon investissement dans l'étape présente.

Parce que je sais qu'on ne peut pas se passer d'expérience et que ça prend beaucoup beaucoup de temps et de préparation de roder le processus et l'infrastructure mentale associé à un projet.

C'est quasiment impossible d'aller à pleine vitesse au début d'un nouveau projet,

peu importe notre degré de motivation,

car on a plein plein de petites choses à mettre en place.

Tu ne peux juste pas improviser ça et espérer que ça se fasse rapidement et efficacement.

C'est pour ça que je m'y prends le plus possible en amont pour démarrer des projets.

Comme ça quand c'est vraiment l'heure de passer à l'étape suivante dans ma vie,

je suis beaucoup plus serein, beaucoup de choses sont préparées, il n'y a plus de grosses difficultés à gérer,

et donc la transition est beaucoup moins lourde, stressante et difficile.

Et cette légèreté me permet de prendre plus de responsabilités,

responsabilités qui vont m'apporter de l'expérience, du développement, etc, etc.

Ce parallélisme du développement, ça fait partie de la méthode que j'appelle les processus de développements dirigés.

Une méthode optimisée pour maximiser les résultats à l'échelle de la vie toute entière.

Cette méthode repose sur l'idée que les développements sont comme des arbres,

qui ont besoin de prendre racine, qui mettent du temps à pousser et à maturer.

Et que du coup si on se concentre à faire pousser un arbre avant de planter d'autres arbres,

alors notre organisation est trop linéaire et fondamentalement inefficiente.

...

Bref pour en revenir à ma détermination, tu rajoutes à ça que je ne suis pas juste un geek qui reste coincé dans sa tête.

Je m'entraîne physiquement tous les jours.

Mon corps est largement plus développé que la moyenne.

Je sais bien me battre et je ne connais personne qui a des coups de pieds retournés plus puissants que les miens.

Je ne suis probablement pas le type le plus déterminé et patient du monde,

mais je suis plus déterminé et patient que n'importe qui que je connais.

Mon éthique de travail est juste ultra-bourrine, ça fait tellement longtemps que je la développe et que j'essaie de la faire passer au niveau supérieur.

Je suis super constant dans la quantité de travail que je fais chaque jour.

Et j'ai toujours envie de plus.

Parce qu'il y a tellement plus à faire, et que le temps est compté.

...

Et je ne vous dis pas tellement ça pour me la raconter.

Non, déjà parce que je suis loin d'avoir une éthique de travail sans faille.

Mon point fort c'est d'être quasiment toujours actif,

je suis quasiment toujours en train de rechercher ou développer quelque chose,

je déteste ralentir, j'aime quand ça va vite et qu'il n'y a pas de temps mort.

...

Mais cela dit je suis assez dispersé dans mes activités et mes engagements.

Il m'arrive souvent de ne plus vouloir faire certaines choses,

d'en être lassé, d'aller à reculons pour ces choses et même de les mettre en pause,

alors que rationnellement ça serait bien que je continue d'avancer sur ces choses comme une machine,

pour créer un système bien huilé.

Mais ça m'est très difficile, je me lasse assez vite et j'ai tendance à avoir une motivation sélective et non générale.

J'ai besoin de variété dans ce que je fais,

ce qui donne l'illusion que je fais beaucoup de choses,

mais la vérité c'est que je fais beaucoup de choses parce que c'est plus facile pour moi de faire beaucoup de choses.

Si je faisais deux fois moins de projets, je ne serais pas deux fois plus productif sur les projets qui me restent.

Non, si je n'avais pas le droit de varier,

ma motivation et ma productivité en prendrait un gros coup.

J'aurais bien bien du mal à faire tous les jours la même chose pendant des mois et des mois comme une machine.

Donc c'est pour ça aussi que j'utilise la méthode des processus de développement dirigé.

Je prends des pauses tout en continuant de passer à l'action,

je change juste le type de processus, d'action, de projets ou de sujets sur lesquels je travaille.

Je fais du "batching", dans le sens où je ne répète pas à l'infini une structure de journée type ou même une structure de semaine type comme le font beaucoup de personnes.

Non je vais avoir une semaine où je vais faire à fond tel truc, une autre où je ferais à fond tel autre truc, etc.

Ce qui fait que je prends des vacances de certaines activités.

Il y a quand même des activités que je répète tous les jours et toutes les semaines mais ce ne sont pas les activités qui prennent des heures et des heures dans mes journées.

C'est plus des activités qui prennent maximum une heure.

Au delà de ça, il m'arrive quand même aussi plus souvent que je ne le souhaiterais de ne pas être d'humeur, de ne pas me sentir énergique, d'avoir des difficultés à me concentrer, de ne pas avancer efficacement, de ne pas être à la hauteur, etc.

Des phases pas très glorieuses, mais que j'ai appris à accepter d'avoir de temps en temps.

On ne peut pas toujours être à fond, il faut l'accepter.

Même si j'essaie de comprendre à la source pourquoi j'ai ces phases, afin de les prévenir autant que possible.

Accepter oui, se complaire non.

Je ne crois pas au hasard, il y a toujours des paramètres et autres facteurs qui expliquent nos variations d'énergie.

Ce qui m'énerve par contre c'est quand je suis dans de mauvais jours plutôt que de décrocher et m'engager dans une récuparation constructive de qualité,

il m'arrive de perdre mon temps à faire des trucs de basse qualité, n'ayant aucun intérêt si ce n'est la promesse de déclencher des petits hits de dopamine.

C'est quelque chose sur lequel il faut que je travaille encore.

Mais c'est assez délicat car en général quand on est dans de mauvais jours, c'est notre petit moi qui est en contrôle, et c'est pour ça qu'on fait de la merde.

...

Bref donc je ne vous dis pas tellement tout ça sur ma détermination pour me la raconter,

je vous dis tout ça pour que vous compreniez qu'il ne faut pas le prendre personnellement

si des gens ne croient pas en vous et en vos projets.

Ne vous dites pas que c'est peut-être vrai et que vous êtes sûrement voué à ne pas réussir.

Ne vous dites pas que si vous aviez tout pour réussir les gens le reconnaîtraient.

Peu importe ce que vous faites, peu importe le potentiel que vous avez, certaines personnes ne croiront jamais en vous.

Il ne faut pas s'en soucier, et surtout il ne faut pas en dépendre.

Si vous avez besoin que les gens reconnaissent votre travail pour travailler et pour être fier de travailler ;

non seulement ça va vous rendre misérable, mais en plus ça va parasiter votre évolution.

Parce que comme je vous l'expliquais dans l'épisode 136,

ce qui conditionne la détermination et la productivité, c'est la surcharge progressive.

Comme en musculation.

J'étais très très loin d'avoir le niveau de détermination et de productivité que j'ai maintenant il y a plus de 10 ans.

D'année en année c'est monté un peu avec la pratique.

Comme des fruits dans un jardin, ça se cultive.

Je n'aurais pas pu directement être confortable à ce niveau sans m'y habituer progressivement.

Et donc si vous voulez vous améliorer à ce niveau il ne faut pas que quelque chose comme le besoin de reconnaissance externe conditionne et parasite votre pratique.

C'est toxique.

Tirez votre fierté de l'intérieur et non de l'extérieur.

...

En ce qui me concerne les personnes qui croient que ma détermination intérieure c'est du flanc et que je me fais le moindre doute dans ma tête,

je les trouve vraiment pas très perspicaces.

Car encore une fois une très grosse partie de mon contenu tourne autour du pouvoir de la détermination intérieure et de la sérénité d'esprit indépendamment des circonstances extérieures.

Ce qui veut dire que pour moi c'est bien de ne pas avoir des tas de vues durant les premières années de ma chaîne,

parce que de 1 / ça me permet d'être sûr d'éviter de rentrer dans le cercle vicieux et addictif de la reconnaissance externe, cf épisode 183

et de 2 / parce que ça me permet de vous prouver que je ne suis pas en train de vous raconter des conneries.

...

Certaines personnes m'ont envoyé des messages pour savoir pourquoi on devrait croire ce que je dis, parce que je ne suis pas connu, je n'ai pas beaucoup de vues, etc

Sans réaliser qu'ils devraient justement me croire pour ça.

Avec ma chaîne je montre un exemple concret du pouvoir de la détermination intérieure et de la sérénité indépendamment des facteurs externes.

...

Vous ne pourriez pas savoir si tout ce que je vous dis sur la patience, la vision, la focalisation sur le processus, l'indépendance envers les résultats, etc marche vraiment si ma chaîne avait décollé rapidement.

Parce qu'on aurait pu expliquer mon engagement, ma productivité et le décollage des résultats par un facteur externe,

et se dire que si on n'a pas ce facteur externe de notre côté alors on est en droit de se désengager,

et notre désengagement sera la faute de l'absence de ce facteur externe.

...

Alors que là, ça fait plus de trois ans que j'ai commencé à publier régulièrement des vidéos,

et vu la progression lente et stable des vues du contenu que je produis c'est très difficile de dénier que cette évolution n'a rien à voir avec des facteurs extérieurs à mon engagement.

Pour le nombre d'abonnés dans les derniers mois, c'est différent parce qu'il y a eu les vidéos Raoult qui ne font pas partie du contenu que je produis moi, et qui ont fait un gros levier temporaire dessus.

Mais ça n'a pas spécialement eu de levier sur l'évolution de l'audience du contenu que je produis moi.

...

Bref, le contenu que je produis ne va pas décoller tout seul, c'est moi qui vais le faire décoller lentement mais sûrement,

à mesure que je le construis et que je l'étoffe.

Je n'ai pas besoin de chance à l'extérieur.

Je vais créer ma propre chance.

...

Je suis parfaitement honnête quand je dis que je pense être innarêtable.

C'est inconcevable pour moi de m'arrêter.

Je pourrais avoir 100 fois moins de vues que ça ne me ralentirait pas d'un poil dans mon travail.

Parce qu'il n'y a rien d'autre que je valorise plus à faire à la place.

Donc je n'en ai strictement rien à foutre des résultats externes sur le court terme.

Et si j'en avais quelque à foutre, là je me poserais des questions.

Parce que ça voudrait dire que j'ai un problème au niveau émotionnel.

Ça voudrait dire que j'ai une faille.

Et si tu crois que ce genre de faille est anodine.

C'est que tu ne comprends pas comment ton cerveau fonctionne.

Ce genre de faille est suffisante pour faire passer ton cerveau en mode toutou et t'empêcher d'accéder à une hauteur de conscience dans laquelle ton génie créatif peut se déployer.

En d'autres termes ça fait jouer la loi d'attraction contre toi, ça te sort de l'état d'esprit d'abondance.

L'état d'esprit d'abondance étant une récompense en soi en plus d'être un générateur de réussite externe.

...

Pour moi une personne qui est vraiment dans la bonne direction dans sa vie,

elle apprécie être dans cette phase de calme où elle n'a pas encore percé.

Parce que c'est là qu'elle peut se concentrer sur l'essentiel, c'est là qu'elle a le moins de pression, c'est là qu'elle est le plus libre de tenter des choses.

De plus elle est bien consciente qu'une fois qu'elle aura réussi d'un point de vue externe,

il n'y aura plus de retour en arrière,

elle n'aura plus ce sentiment excitant de devoir réussir, ça sera fini, et donc elle en profite tant que ça dure.

Cette phase de montée n'est pas éternelle, tu ne peux le faire qu'une fois dans ta vie.

...

Comme je vous l'ai déjà expliqué à partir de l'épisode 19, j'ai une approche méditative à la détermination et au développement.

Et donc réussir plus vite sur le court terme je n'en ai rien à foutre.

je ne vois pas comment ça pourrait me rendre plus heureux, au contraire.

Quand j'écoute une musique qui me plaît je n'ai pas envie qu'elle s'accélère.

J'ai envie de la savourer.

De plus il y a toujours plus de succès à avoir, les lignes d'arrivée ne sont que des illusions, parce que derrière on redémarre toujours quelque chose.

Il n'y a jamais un moment où tu vas pouvoir atteindre un palier et ça va changer ta vie,

tu vas te sentir bien à tout jamais et ne plus avoir besoin de travailler.

Game Over, tu as fini le jeu de la vie.

Non.

Donc chasser les résultats sur le court terme, c'est anti-état d'esprit d'abondance.

C'est un truc de hamster névrosé.

Motivé par le manque, un vide intérieur, un besoin insatisfait d'être comblé, des attentes illusoires et une compréhension naïve et immature de l'épanouissement.

Et si vous voulez en savoir plus sur pourquoi je dis tout ça, allez voir l'épisode 232 sur la dopamine detox et la façon dont notre cerveau ajuste l'excitation et la récompense.

...

En revanche je suis fasciné par le long terme.

Et c'est probablement pour ça que je me fiche pas mal du court terme.

Je suis tellement en avance dans ce que je planifie pour l'avenir, vous n'avez même pas idée.

Je considère n'avoir encore rien donné de ce que j'avais à donner.

Je ne compte pas mourrir et m'arrêter de travailler avant plusieurs décennies.

Je suis extrêmement patient et minimaliste.

Je n'ai besoin de rien d'externe pour maintenir mon feu intérieur.

Je ne valorise pas tous ces trucs superficiels.

Je n'ai pas la fantaisie de croire qu'atteindre tels ou tels résultats extérieurs va radicalement changer le déroulement de ma vie.

Pour moi les meilleurs trucs dans la vie ils sont "gratuits", ils coûtent simplement du temps et de l'énergie.

Comme le flow, la compréhension et la maîtrise par exemple.

De plus je suis de ceux qui pensent que le travail et la valeur uniques sont les grands égalisateurs sur le long terme.

Le retour sur investissement des stratégies de marketing, des stratégies de manipulation de la valeur pour obtenir plus de résultats, etc, il est de plus en plus bas avec le temps.

C'est ta valeur unique réelle qui finit par jouer et créer un effet de convergence.

Et donc le retour sur investissement du travail et de la construction de valeur unique est de plus en plus grand avec le temps.

Et ça j'ai remarqué qu'il n'y a pratiquement personne qui le comprend vraiment profondément.

Dans les domaines de l'entreprenariat et du développement personnel, beaucoup de gens sont conscients du principe de Pareto,

du principe selon lequel 80 % des choses que tu fais sont grosso-modo du gâchis d'énergie parce que l'essentiel de tes résultats vient de 20 % des choses que tu fais.

Et l'idée qu'on tire souvent ce principe de Pareto c'est que tu dois te concentrer à fond sur ces 20 % et laisser de côté les 80% qui ne t'apportent pas grand chose.

Beaucoup de gens sont conscients de ce principe de Pareto.

Mais ils en ont une vision simpliste.

Ils n'arrivent pas à saisir l'imbrication des 80/20 à travers le temps.

...

Et sur ce on en reparle dans le prochain épisode !

Comme d'habitude je vous invite à vous abonner si ce n'est pas déjà fait.

À partager cette vidéo et laisser un pouce bleu si vous l'avez appréciée.

Et je vous invite également à rejoindre le Discord de la Fondation MAGister pour prendre part à des discussions sur les différents aspects du développement.

Le lien est dans la description de la vidéo.

Quoi qu'il en soit je vous remercie de m'avoir écouté jusqu'au bout,

et je vous dis à très bientôt pour la prochaine vidéo,

Ciao.


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